Un village peu acceuillant...

Cela faisait déjà quatre ans que j'avais quitté cet endroit infâme qui logeait rats, araignées et blattes en tous genre. Je me rappelais des journées entières, accroupi dans les coins de ce lieu entrain de compter le nombre de victimes que j'allais écorcher de mes propres mains, que j'allais crevé... Mais qu'est ce que je dis? La bétisse m'emporte! Je dois arrêter mes différents massacres et me concentrer sur mon moi interieur afin d'apporter le bonheur et la joie de mon entourage. Mais que faire malheureusement quant un homme comme moi n'a plus personne pour parler et se confesser. Où était parti Kimimaro? Cinq ans que mon ami, le seul qui pouvait converger ma haine en amour, l'être qui, d'un seul regard m'endormait m'avait laissé pourir dans cette prison. Maintenant j'errais seul sans avoir réellement le pouvoir de contrôler ma follie. Le contrôle, voilà un mot qui me faisait rêver. Un mot dont le sens me paraissait appaisant. Je ne pouvais le ressentir lorsque la brise me balayait le derme, les rayons du soleil m'aveuglait, l'eau de pluis coulait le long de mon visage, que la terre se craquait sous mes pieds et que les oiseaux m'envoutaient avec leurs plus belles mélodies. La nature et son environnement comportant la faune et la flore étaient le réceptacle de cette envie de tuer. C'est pour cela que je passais des heures et des heures à me balladait dans les forêts, dans les prairies et le long des rivières pour trouver l'inspiration et la paix en moi. Mais j'étais loin de deviner ce qu'il allait se passer lors de ce jours digne d'un mois d'automne...

Une bourrasque de vent emporta tout sur son passage. Afin de ne pas m'irriter mes pupilles, je mis ma main sur le visage tout en avançant. Le temps devenait de plus en plus menaçant. La grêle pris le dessus.De la glace de la taille du poing tomba en détruisant tout sur son passage.Même ma mère nature se retourna contre moi.

Qu'elle aille aussi en enfer cette salope!Je reçu un glaçon dans la tempe ce qui me mis encore plus en rage.Vous voulez joué avec moi, alors essayaient de me toucher!Je commença à accélérer tout en évitant la salve de glace.Bande de minable, que pensez vous faire contre moi? Je m'amusais comme un fou, oui comme un fou enragé soudain, face à moi se dressait une entré d'une énorme grotte avec un rocher imposant qui la bloquait.Ca tompe à pic, je vais pouvoir passer un ptit moment dans cette caverne et attendre que ce temps de chien se calme! Tout à coups, mes yeux devinrent flous, les sons autour de moi se brouillaient. Je toucha le derrière de mon crâne et regarda mes doigts. Une matière rouge se mêlait à ma peau, mon sang. Je chuta violemment sur le sol, tête face à terre...

Il me fallut bien une bonne demi heure pour reprendre mes esprits. Ma tête me faisait si mal comme si un marteau ne s'arrêtait jamais de me cogner. Je n'avais pas bouger de place, la grotte était toujours devant moi. Mais que faisait une grotte qui avait l'air habité au milieu de ce bois? En effet, cela ressemblait plus à une entré d'un temple avec deux gros pilliers rouges qui formaient une sorte de porte. De plus, une sorte de parchemin était accroché sur le bloc de pierre qui servait de cache. Je regarda de plus près les inscriptions, je ne comprenez pas les paroles de ce charabia. Il était marqué: "Pour votre sécurité, veuillez vous écartez" Je ne voulez aucun cas que des ennuis quelconques me tombent dessus. Mais d'un autre côté, que c'est excitant. En effet, les ennuis vont de paire avec la bagarre qui va de paire avec la violence et qui va de paire avec la mutinerie. C'est pas un bout de papier ridicule qui va s'opposer à ma puissance. Mon sceau s'activa. Une force impressionnante se dégagea de mon corps surdimensionné. Mon avant bras se changea alors en une sorte de bélier qui détruisa d'un seul coup le gros rocher. Mais l'explosion du parchemin ne s'arrêta pas là. Ce souffle de chaleur avait tout raser dans un périmètre de cent mètre. caca, mes fringues sont crâmés, a qui appartient cette conasse de grotte? Alors là, il fallait pas me faire ça surtout que c'est dur de trouver des habits à ma taille. Je vais vous les faire bouffer bande de salops! Mes yeux étaient remplis de carnage, je fonça à travers la caverne dans l'idée de buter le premier enfoiré que j'allais rencontrer. Mais personne, même pas un cafard oserait s'habriter dans une tauti comme celui-ci. Il n'y avait vraiment rien. Ma haine se redescendit au niveau zéro. Je devais faire demi tour et partir vers le plus proche village pour me reposer de mon long voyage. A ce que je savais, Kirigakure serait ma destination.

lors que j'étais parti de cette ignoble caverne, je marchais en direction du village caché de la Brume sanglante, Kiri. Des rumeurs circulés comme quoi, le Kage du village avait formé une entente avec l'organisation de l'Akatsuki. Cette cité habritait les plus dangereux criminel du monde ninja qui possèdaient des pouvoirs des plus exceptionnels.

Peut être trouvais je un membre qui pourrait arrêter mes envies meurtrières? C'est alors que j'étais des plus motivé pour racontrer ce Mizukage et lui, pourquoi pas, proposer un petit dilemme... Alors que le soleil ne luisait plus dans le ciel, j'apperçu au loin des petites lumières de chaumières, le village de Kiri n'était plus trop loin. Que la nuit était magnifique dans ce Pays, j'entendais le moindre bruit de cette nature sauvage. De la chouette hulotte en passant par le lézard des rivières, je communiquais avec mes nouveaux compagnons rien qu'avec la pensée innocente qui trouvait encore sa place dans mon esprit tordu. Je me sentais bien, je me sentais libre, je me sentais mâitre de moi même...

Tout en me mettant en route pour le poste d'avant garde, un oiseau nocturne se posa sur mon épaule. Il était si beau et si attachant, que mon regard ne le quittait plus son plumage. Il me sifflotait un air mélodieux qui m'emporta dans un univers paisible et calme. Je n'avais pas vu le temps passé que me voilà déja arrivé devant l'énorme palissade où une porte de dix mètre de haut se dressait devant moi. Cette porte affirmait l'obéissance et l'autorité. Comme ses soldats qui m'interpellèrent. Et toi, ouai toi, l'homme qui murmure à l'oreille des oiseaux, dis moi, tu viens faire quoi dans les environs de Kiri. Je viens trouver refuge pour reposer ma petite personne.Ta petite personne? Elle est bien bonne celle-là! Les deux benêts éclatèrent de rire, ces rires étaient tellement désagréable que mes yeux restaient fixé sur les dents jaunes et pourries mais aussi sur la bave des soldats qui coulait le long de leur bouche déformé. Un des deux compères s'approcha de moi. Bouhhhh. Cet enculé de vermine fit exprès de faire partir mon nouvel ami de mon épaule. Il ne savait pas contre qui il était tombé. Vous n'aurez jamais dû faire cela! Ma seule raison de vivre, vous me l'avez fait envolé. Mon seul contrôle, vous me l'avez oté! Qu'est-ce que tu racontes pauvre fou? Moi fou? Je suis pas fou mais pire! Je suis malade! Il fallu que ces demeurés me mettent dans une colère noire. Je me dirigea vers le premier soldat en lui envoyant une droite qui lui arracha la mâchoire. Il tomba et s'écrasa sur la porte sans avoir pu répliquer.Euh s'il te plait, on peut s'arrancher, je te laisse entrer ça te va.Maintenant que ton chien de pote s'est évanoui, je vais me régaler sur ton compte.Noooonnnnnnnnnnn!!!!!!!

J'avais enfin pu passer la garde qui de mon point de vue n'était pas si aimable que ça. Pourquoi les hommes se sentent toujours superieurs aux autres Pourquoi cherchent ils tout le temps la violence? Ce monde est si étrange et si particulier à la fois que ma place parmi eux me parassait illusoire. Le vacarme que j'avais orchestré tel un maître, me fit attiré toute la population de ce village. Les habitants me regardaient comme si j'étais un monstre de foire, une abomination.

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» Le village de Kiri